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Université spirituelle de l'Être
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Maître spirituel de la nouvelle ère
Josef Zezulka et Tomáš Pfeiffer

MAÎTRE SPIRITUEL DE LA NOUVELLE ÈRE

AU COMMENCEMENT, IL Y A LA TABLE

Il existe beaucoup de types de tables. L'histoire de celle-ci commence à Pâques, en 1945. On est le 30 mars et l'homme assis à cette table est depuis quelque temps témoin de phénomènes étranges. Cependant, on ne peut pas dire que jusque-là sa vie ait été inhabituelle. Or soudain, l'état des choses change. Subitement, sans avertir, sa perception des évènements et du monde évolue, sa conscience s'élargit. Tout est si nouveau, inconnu et connu à la fois. Un état spirituel immensément profond. Il célèbre son trente-troisième anniversaire juste ce jour-là. Nous l'appellerons J.Z.
table J.Z. Plus tard, il en dira : " C'était comme si je m'étais soudain remémoré quelque chose de connu jadis et oublié par la suite ". Il n'a rien appris, il n'a écouté personne et pourtant il sait. Il s'efforce de découvrir ce qui est arrivé et pourquoi. Pour l'instant il s'habitue petit à petit à la nouvelle donne. Il questionne pas mal de personnes, de prêtres, mais nul ne connaît cet état. On est la veille du putsch communiste, peu après la fin de la guerre. Les gens sont soulagés, la vie sociale et culturelle commence à renaître. Le monde est beau. J.Z. assiste alors à une conférence. Du haut de l'estrade un médium interpelle l'auditoire en ces termes : " Je m'adresse à l'homme à tel ou tel rang du côté gauche. " Tout le monde se retourne - c'était J.Z. Et au médium de poursuivre : " Le temps de ton éveil est venu, bientôt tu en sauras davantage. " Il attendait donc de voir ce qui allait arriver - et c'est arrivé. Tout a commencé discrètement, en sourdine. Un jour, un homme entre dans sa petite boutique sans avoir l'air de savoir pourquoi il y est entré. J.Z. dit : " Ça doit être le karma. " L'homme lui lance un regard étonné et demande : " Vous savez ce que c'est, le karma ? C'est rare. " Ils se mettent à discuter et l'homme confie d'être le membre d'un cercle spirite non-public (à propos, les nazis et, plus tard, les communistes liquidaient le mouvement spirite, parfois même ses membres ; au demeurant, toutes les idéologies totalitaires procèdent de la même façon jusqu'à nos jours) qui se réunit depuis des années, mais qu'aucun nouveau membre n'a jamais été recruté depuis et qu'ils ont vraiment un haut maître spirituel non incarné.

J.Z.Le lendemain, le client " non-client " lui rend visite à nouveau, les yeux écarquillés - quelque chose d'inouï est arrivé - la veille, comme par hasard, lors de leur séance le maître lui a dit d'avoir rencontré quelqu'un qu'on devrait amener. Et il l'a décrit - c'était J.Z. Hormis sa sagesse, le maître non incarné était également doté d'une clairvoyance exceptionnelle car il était capable de désigner non seulement la date d'un évènement, mais aussi son heure, à la minute près. Le plus important message qu'il a dévoilé à J.Z. fut adressé en ces termes : " Tu es doté de deux dons - le don de guérison et le don d'esprit. Le second don te permettra de développer la guérison et la philosophie. Tu ne dois plus écouter personne, pas même moi. Tu as été approché par une autre créature qui déclenchera une autre action. " Et ce fut l'attente, à nouveau. Le jour désigné, la sonnette retentit et deux hommes vêtus de manteaux en cuir se présentent à la porte. S'en suivent l'arrestation et le départ pour la prison de Pankrac. À cette période-là, de nombreux sympathisants anticommunistes sont arrêtés et parmi eux, J.Z. Il n'a jamais appris les vraies raisons de son arrestation. Une petite cellule surpeuplée est alors devenue sa nouvelle demeure. Après quelque temps, la plupart des détenus ont été amnistiés et libérés, sauf J.Z. Il demande au maton, essaie de savoir ce qui se passe, mais celui-ci lui répond : " Ne me demande pas, celui qui doit être pendu ne se noie pas. " Par la suite, chaque fois qu'il devait faire le tour de la cour de promenade, J.Z. s'attendait à entendre l'ordre " halte, face au mur ". Car la cour servait de lieu d'exécution. Mais le maton n'a rien dit et J.Z. a été libéré suite au décret appelé " décret d'abolition ". Ce n'est que plus tard qu'il apprend qu'il est passé à côté de son lieu d'exécution car, lors de sa vie antérieure, il avait également été exécuté. Or, le plus fascinant n'arrive que lorsque J.Z. rentre enfin chez lui. Un couple d'un certain âge, membres du cercle spirite, l'attendait. Après avoir consulté leurs montres ils ont dit : " Tu arrives juste à temps. " En effet, pendant son absence le maître non incarné avait désigné le jour, l'heure et la minute de son retour bien qu'il fût libéré tout à fait par hasard. Même dans ses autres propos le maître ne s'était jamais trompé. Déjà en 1945, il avait prédit la scission de la Tchécoslovaquie, et ce n'est pas tout!! D'autres nombreux évènements attendent leur tour. Maintes années de travail fécond suivront, dans des conditions pénibles, sous surveillance policière permanente et persécution. Petit à petit, son nom est devenu une notion, non seulement à l'échelle tchèque. Tenu dans le secret dans son propre pays, il a acquis la notoriété internationale en tant que philosophe et guérisseur. À vous-même d'en juger. 

Par conséquent, du don d'esprit et de guérison de J.Z. découle tout ce que vous trouverez sur ces pages. 
 

Il y a de nombreuses années, lorsque je me suis retrouvé pour la première fois face à cet homme grisonnant, je ne soupçonnais guère que j’étais face à mon destin. Par la suite, j’ai passé avec Monsieur Zezulka une bonne partie de ma vie. Je lui rendais régulièrement visite, plusieurs fois par semaine. Il a toujours trouvé du temps pour discuter avec moi jusqu’au début du « journal télévisé ». C’était un enseignement spontané, et, somme toute, génial de la philosophie de l’Être et de la biotronique, deux disciplines que Monsieur Josef Zezulka avait créées et mises en pratique. Mais tout cela, je ne l’ai compris que bien plus tard. Chaque fois, je le quittais rempli d’idées et d’impressions. Quel incroyable changement arrivait-il à opérer dans mon for intérieur! Il a élargit ma conception, à l’origine plutôt technique, à une perception du monde moins schématique et plus profonde.

Monsieur Zezulka m’a fait connaître personnellement quelques autres amis qui lui rendaient visite et, tout comme moi, lui posaient des tas de questions. Par la suite, je les rencontrais régulièrement chez Monsieur Zezulka et nous sommes toujours restés en contact. Les années passaient et le temps imparti s’est mis à décroître. Juste avant de quitter son enveloppe corporelle, Monsieur Zezulka m’a fait venir. Ce qu’il a fait ensuite représentait pour moi un engagement, une promesse et une vocation pour le reste de ma vie. Il m’a dit : « Tomas, je vous transmets la biotronique et la philosophie de l’Être – à vous de les diriger dorénavant. Je vous transmets ce qui est connu afin de le porter et de le protéger. Lorsque votre temps viendra, vous le transmettrez à quelqu’un d’autre. » Il a prononcé une phrase qui sonne toujours dans ma tête et dans mon coeur : « Je vous transmets notre cause commune. »
Voilà l’explication. Tu sais à présent, cher lecteur, pourquoi je te soumets, à mon tour, cette cause commune. Car nous tous formons une seule entité et tout ce que l’homme ou Dieu avaient créé relève de notre réciprocité.

Tomáš Pfeiffer
élève et continuateur de Josef Zezulka


Inauguration solennelle de l'Université spirituelle de l'Être le 30 mars 1994 à la Maison municipale de Prague.

  

 
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