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Naissance de l’enfant

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sans le consentement écrit préalable de l’éditeur.

Josef Zezulka – BYTÍ – L’ÊTRE
philosophie de vie

NAISSANCE DE L’ENFANT

Les forces vitales et psychiques de la mère, ainsi que les facteurs génétiques de la mère et du père, influencent le début de la formation de l’enfant, à l’état embryonnaire, dans le ventre de sa mère. Une nouvelle créature à naître se joint à l’enfant à peu près au début de la deuxième moitié de la vie foetale. Ce n’est qu’une moyenne, car le moment de cette jonction est très individuel. Parfois, elle survient juste avant l’accouchement et, dans ce cas, les facteurs des parents agissent fortement jusqu’à ce moment. Tout cela est fonction de la qualité, de la maturité et du nouveau destin de la créature à naître, mais également de l’influence des parents. Si, par exemple, la qualité de la créature à naître correspond dans une large mesure à la qualité des parents, elle ne se joint généralement que plus tardivement. Si elle est différente, elle se joint assez tôt. Comme si la créature, différente des parents, avait par son influence à corriger plusieurs aspects de la forme corporelle en formation, car la qualité de la partie psychique de la créature doit correspondre aux signes qualitatifs de son corps. La loi de la vie s’en charge sans que nous ayons la possibilité d’intervenir.

L’enfant naît. Commence alors une nouvelle vie spécifique, due aux nombreuses naissances antérieures. Elle est dotée d’un nouveau cerveau qui perçoit de nouvelles impressions, l’homme recommence à vivre une nouvelle existence, regarde autour de lui, fait connaissance de son entourage et s’installe dans son nouveau destin. Les perceptions fortes de la vie antérieure sont restées dans le subconscient, c’est-à-dire dans la conscience de la créature intérieure, ou, autrement dit, dans la créature de l’OEuvre créatrice. De même que l’homme connaît l’alternance des veilles diurnes et des sommeils nocturnes, la créature intérieure connaît l’alternance des vies dues à sa propre perception et des vies spécifiques. Au fur et à mesure que la vie évoluera, la créature intérieure sera de plus en plus parfaite et de plus en plus équilibrée et sera également de plus en plus capable de percevoir simultanément son être et ses vies spécifiques jusqu’au jour où ces perceptions se rejoindront.

C’est la base de la vie éternelle, souvent très mystérieuse pour l’humanité. L’être est éternel. La notion de « je suis » et la perception de l’être. Cette notion d’être, c’est-à-dire la notion « je suis une entité et je perçois », embrasse tout l’être par deux pôles. Il y a, d’une part, une perception permanente de tout, sans temps ni dimension, et, d’autre part, une perception progressive de tout. Ce sont deux pôles d’une seule loi de l’être, du fondement – de Podstata – du Dieu.

La démarche de perception, qui relève de l’OEuvre créatrice, intègre la vision de la partie fondamentale et, par la suite, le processus qui s’y déroule, décrit précédemment.

 
 
 
 

Josef Zezulka – BYTÍ – L’ÊTRE – philosophie de vieJosef Zezulka – BYTÍ – L’ÊTRE – philosophie de vie
Éditeur © Tomáš Pfeiffer, Éditions Dimenze 2+2 Praha, Soukenická 21,
110 00 Prague, République tchèque
le 30 mars 2015, ISBN 978–80–85238–22–8 
Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou diffusée sous aucune forme – papier, électronique ou autre – ni traduite dans une autre langue sans le consentement écrit préalable de l’éditeur. 
© Tomáš Pfeiffer, 2015

  

 
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